Note : 4 / 5
Synopsis :
"Metal Gear
Rising : Revengeance" démarre environ quatre années après la fin de "Metal Gear
Solid 4". Raiden un personnage
bien connu de la licence travaille à présent pour une entreprise privée
spécialisée dans les opérations armées, la Marverick corporation. Il faut
savoir que dans le monde alternatif de Metal Gear, il existe de nombreux cyborgs,
d'IA et d'autres technologies futuristes, et ce sont de puissantes
multinationales et des armées privées qui font la loi.
Lors de l'enlèvement d'un ministre africain par une
bande de cyborgs au service de Desperado Enforcement LLC, (une autre armée
privée) les choses tournent mal pour Raiden. Le ministre se fait tuer, et notre
héros se fait gravement mutiler. C'est donc un échec complet. Heureusement la
technologie étant ce qu'elle est, Raiden obtient un nouveau corps de cyborg
ultra-perfectionné, même s'il y perd la beauté qui était la sienne, au profit d'une apparence plus proche d'un exosquelette.
Durant ce temps Desperado Enforcement
n'est pas restée inactive, et leur bande de cyborgs d'élite
a mené un coup d'état en Abkhazie (un sombre pays imaginaire), le moment est
venu pour Raiden de se venger, d'où le titre du jeu.
Critique :
"Revengeance" est un épisode à part dans la série "Metal Gear Solid" (MGS). Il s'agit d'un spin-off orienté action. Oubliez les phases d'infiltration avec Snake, ici, on enchaîne les combats à vitesse grand V dans la peau de Raiden. Ce personnage à la longue chevelure grisonnante utilise surtout un katana pour se défaire de ses ennemis.
Nous connaissions déjà Kojima Production pour leur savoir-faire en
matière de style : héros élancés, scènes extrêmement travaillés lors de
leurs cinématiques et personnages secondaires au background étonnamment
fouillé. Tels sont les ingrédients qui ont rendu la saga "Metal Gear" si
populaire aujourd’hui.
Alors que se passe-t-il lorsque l’on mélange cet
art et cette attention aux détails avec Platinum Games ("MadWorld", "Vanquish", mais surtout "Bayonetta"), connu pour cette
même attention donnée aux situations grandiloquentes et spectaculaires ? Cela donne tout simplement "Metal Gear Rising : Revengeance", ou, en
une phrase : l’action dans "Metal Gear Rising : Revengeance"
est démesurée, mais toujours juste.
La patte d'Hideo Kojima (créateur de la saga MGS) se fait sentir dès les premières minutes de jeu.
La présence de Raiden y est évidemment pour quelque chose, mais les
thèmes abordés (politique, complot, terrorisme, trahison, liberté,
justice, etc.) nous rappellent que nous avons bel et bien devant nous un
spin-off de "Metal Gear". Les
fans de la saga ne seront donc pas surpris par la narration,
entrecoupée par des cinématiques très réussies et de longs discours plus
ou moins intéressants via le fameux codec placé dans l'oreille du
héros.
On retrouvera quelques phases d'infiltration, où la
discrétion doit prendre le pas sur l'offensive. La moindre erreur alertant les
patrouilles alentours et compromettant sérieusement la survie du héros.
Néanmoins, "Metal Gear Rising : Revengeance" (MGR) est
avant tout un jeu d'action, développé par les maîtres du genre.
On retrouve dans cet opus tout ce qui a fait le succès des précédentes
productions du studio japonais, Platinum Games. Effets graphiques spectaculaires,
bande-son rythmée et gameplay
ultra nerveux. Les combos
s'enchaînent à une vitesse hallucinante et avec une fluidité
ahurissante. Mais ne tirez pas de conclusions trop hâtives, MGR n'est
pas un jeu d'action bourrin, loin de là. En effet, la parade joue un
rôle essentiel dans les combats. La maîtrise de cet art s'avérera absolument indispensable lors
de certains affrontements. Non contents de livrer un gameplay
certes classique mais extrêmement efficace, les développeurs ont
cherché à dynamiser le jeu, si besoin était, en plaçant le katana de
Raiden au cœur de l'action.
Le jeu repose donc sur un concept particulier. Pour résumer, après avoir affaibli ses adversaires en leur assénant de multiples coups, notre héros peut littéralement les trancher avec une très grande précision, le joueur déterminant alors quelle partie du corps viser. A l'écran, le résultat est à la fois spectaculaire et, évidemment, tout à fait grisant en raison du sentiment de puissance qu'il procure.
Il ne faut pas se méprendre, cette violence exacerbée est soutenable car le jeu ne vise pas du tout le réalisme. Il tient plus du film d'animation décomplexé et arbore un second degré permanent permettant de prendre de la distance avec l'action. L'histoire restant cependant adulte et profonde.
Ainsi "MGR" est donc un Beat them all au gameplay très nerveux, en
dehors des fameuses cutscenes et des dialogues, les choses s'enchaînent. Raiden est un cyborg survolté aux capacités physiques surhumaines, ce qui
lui permet d'accomplir un certain nombre de prouesses comme courir sur les
murs, parer les balles de mitrailleuses avec son épée, et faire sortir une lame
de ses pieds pour perforer un adversaire en lui atterrissant dessus. Il dispose
aussi de différents types de coups, outre les habituels sauts, coups rapides ou
puissants, les parades, les esquives et les enchaînements, il dispose d'une
toute nouvelle compétence habituellement réservée aux armes à feu : le mode
katana.
Lorsqu'il
active ce pouvoir, très similaire au "bullet time" le temps ralenti à
l’extrême, mais pas ses coups, il a donc la capacité de donner en quelques
secondes de nombreux coups de sabre. Là où cela devient intéressant, c'est que
vous contrôlez complètement l'orientation du sabre, cela vous permet donc de
déterminer avec précision ce que vous allez couper et sous quel angle sur vos
adversaires, par exemple en diagonale pour le tuer sans blesser l'otage qu'il
retient, ou vous pouvez le découper en 20 très fines tranches.
C'est assez amusant, et cela devient rapidement
utile en sachant qu'en découpant comme il convient vos adversaires (c'est à
dire en séparant leur main gauche) vous pouvez leur voler le module contenant
des informations précieuses et une recharge de vie entre autres. Évidemment ce
pouvoir n'est pas tout puissant, non seulement il consomme de l'énergie, mais
en plus les gros ennemis et les boss ne seront pas directement tués par cette
technique tant qu'ils n'auront pas été suffisamment affaiblis.
Pour finir,
le mode de combat normal et le mode katana sont complétés par des "Quick
Time Event" (QTE), c'est à dire qu'il vous faudra appuyer sur les bonnes touches au
bon moment quand cela vous sera demandé à l'écran, et ce afin d'accomplir des
actions spéciales menant généralement à la mort directe de votre adversaire.
Pour les boss ces QTE sont très présents, et ils vous serviront généralement à
vous remettre d'une capacité que vous n'aurez pas réussi à éviter.
Graphiquement, "Metal Gear Rising : Revengeance" est plutôt agréable à regarder. Les
décors, essentiellement urbains, ne brillent pas par leur beauté mais
sont tout à fait satisfaisants. Mention spéciale pour les cinématiques
et les effets spéciaux, vraiment réussis.
Question jouabilité, c'est du Platinum Games à l'état pur. Sans atteindre la profondeur d'un
"Bayonetta", le gameplay est extrêmement fluide et nerveux. Certes, on
retrouve peu ou prou toutes les mécaniques des classiques du genre, mais
le tout demeure parfaitement cohérent et efficace. Le mode Katana et le
système de parade ajoutent encore plus d'intensité et de spectacle aux
combats. Le résultat est totalement jouissif.
Platinum Games livre là un jeu au gameplay complet, mais qui n'est malheureusement pas exempt de défauts. Commençons par la caméra, problème récurrent dans ce genre de
productions. Même si le joueur a la possibilité de l'orienter comme il
le désire avec le stick droit et de la replacer derrière lui en cliquant
dessus, force est de constater qu'elle a parfois tendance à perdre les
pédales, notamment lors des combats dans des pièces exiguës ou pendant
certaines scènes d'action.
En outre, l'intelligence artificielle se
montre parfois capricieuse. Tantôt trop réactive, tantôt à la ramasse,
elle peut engendrer un sentiment de frustration, surtout dans les phases
d'infiltration. Le joueur préférera alors y aller franchement
plutôt que de miser sur la discrétion. Enfin, bien qu'intense et
jouissif, MGR se termine un peu trop
rapidement.
La durée de vie représente donc le plus gros point noir du jeu. Comptez environ sept heures pour le terminer en
mode normal. Les missions en réalité
virtuelle, les divers objets à collectionner et le côté scoring viennent
donner du poids à la durée de vie un peu faiblarde du soft.
Au final, "Metal Gear Rising : Revengeance" est un beat'em all visuel et
extrêmement jouissif, qui n'a pas oublié de se trouver un système de jeu
cohérent et original. L'histoire a beau être simpliste et courte, ses
personnages hauts en couleurs auront vite fait de rehausser le ton d'une
aventure lancée à pleine vitesse pour vous en mettre plein les yeux.
Pas forcément très impressionnant d'un point de vue technique, MGR propose toutefois des combats d'un dynamisme à couper le souffle. Malgré une durée de vie ridicule, très exigeant, le jeu ne se destine pas à tout le monde.
Comme à son habitude, Platinum Games livre un titre au
gameplay quasi infaillible, qui nous fait vivre une expérience
particulièrement intense. Les fans de Kojima ne seront pas totalement
dépaysés et y trouveront même leur compte, tant l'aura du maître se fait
sentir dans la narration du jeu. Certes un peu court, on ne peut
qu'être enthousiaste au contact de ce "Metal Gear Rising : Revengeance",
qui se doit de figurer dans la ludothèque de tous les amateurs d'action !!!
Lorsqu'il active ce pouvoir, très similaire au "bullet time" le temps
ralenti à l’extrême, mais pas ses coups, il a donc la capacité de
donner en quelques secondes de nombreux coups de sabre. La où cela
devient intéressant, c'est que vous contrôlez complètement l'orientation
du sabre, cela vous permet donc de déterminer avec précision ce que
vous allez couper et sous quel angle sur vos adversaires, par exemple en
diagonale pour le tuer sans blesser l'otage qu'il retient, ou vous
pouvez le découper en 20 très fines tranches, comme si vous affrontiez
un salami géant. C'est assez amusant, et cela devient rapidement utile
en sachant qu'en découpant comme il convient vos adversaires (c'est à
dire en séparant leur main gauche) vous pouvez leur voler le module
contenant des informations précieuses et une recharge de vie entre
autres. Évidemment ce pouvoir n'est pas tout puissant, non seulement il
consomme de l'énergie, mais en plus les gros ennemis et les boss ne
seront pas directement tués par cette technique tant qu'ils n'auront pas
été suffisamment affaiblis.
Pour finir, le mode de combat normal et le mode katana sont complétés par des QTE (Quick Time Event), c'est à dire qu'il vous faudra appuyer sur les bonnes touches au bon moment quand cela vous sera demandé à l'écran, et ce afin d'accomplir des actions spéciales menant généralement à la mort directe de votre adversaire. Pour les boss ces QTE sont très présents, et ils vous serviront généralement à vous remettre d'une capacité que vous n'aurez pas réussi à éviter.
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Pour finir, le mode de combat normal et le mode katana sont complétés par des QTE (Quick Time Event), c'est à dire qu'il vous faudra appuyer sur les bonnes touches au bon moment quand cela vous sera demandé à l'écran, et ce afin d'accomplir des actions spéciales menant généralement à la mort directe de votre adversaire. Pour les boss ces QTE sont très présents, et ils vous serviront généralement à vous remettre d'une capacité que vous n'aurez pas réussi à éviter.
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Metal Gear Rising : Revengeance démarre environ quatre années après la fin de Metal Gear Solid 4. Raiden
un personnage bien connu de la licence travaille à présent pour une
entreprise privée spécialisée dans les opérations armées, la Marverick
corporation. Il faut savoir que dans le monde alternatif de Metal Gear,
il existe plein de cyborgs, d'IA et d'autres technologies futuristes, et
ce sont de puissantes multinationales et des armées privées qui font la
loi.
Lors de l'enlèvement d'un ministre africain par une bande de cyborgs au service de Desperado Enforcement LLC, (une autre armée privée) les choses tournent mal pour Raiden. Le ministre se fait tuer, et notre héros se fait gravement mutiler. C'est donc un échec complet. Heureusement la technologie étant ce qu'elle est, Raiden obtient un nouveau corps de cyborg ultra-perfectionné, même s'il y perd sa belle petite gueule de playboy tout droit sortie de Final Fantasy, au profit d'une apparence plus proche de celle d'un Terminator en fin de film. Et comme durant ce temps Desperado Enforcement n'est pas restée à se tourner les pouces, et que leur bande de cyborgs d'élite a mené un coup d'état en Abkhazie (un sombre pays imaginaire), le moment est venu pour Raiden de se venger, d'où le titre du jeu.
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un personnage bien connu de la licence travaille à présent pour une
entreprise privée spécialisée dans les opérations armées, la Marverick
corporation. Il faut savoir que dans le monde alternatif de Metal Gear,
il existe plein de cyborgs, d'IA et d'autres technologies futuristes, et
ce sont de puissantes multinationales et des armées privées qui font la
loi.
Lors de l'enlèvement d'un ministre africain par une bande de cyborgs au service de Desperado Enforcement LLC, (une autre armée privée) les choses tournent mal pour Raiden. Le ministre se fait tuer, et notre héros se fait gravement mutiler. C'est donc un échec complet. Heureusement la technologie étant ce qu'elle est, Raiden obtient un nouveau corps de cyborg ultra-perfectionné, même s'il y perd sa belle petite gueule de playboy tout droit sortie de Final Fantasy, au profit d'une apparence plus proche de celle d'un Terminator en fin de film. Et comme durant ce temps Desperado Enforcement n'est pas restée à se tourner les pouces, et que leur bande de cyborgs d'élite a mené un coup d'état en Abkhazie (un sombre pays imaginaire), le moment est venu pour Raiden de se venger, d'où le titre du jeu.
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il existe plein de cyborgs, d'IA et d'autres technologies futuristes, et
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