Note : 4 / 5
Synopsis :
"Diablo III" sur PS3 et Xbox 360 est un hack'n slash (jeu de rôle orienté action) qui se
déroule dans un univers dark fantasy, vingt ans après les événements
narrés dans "Diablo II". Le joueur a la possibilité de créer un héros parmi
les cinq classes disponibles pour affronter le mal sous toutes ses
formes.
Bénéficiant d'un mode solo et multi-joueurs, "Diablo III" vous fera
voyager aussi bien dans des niveaux déjà visités dans les précédents
opus que dans de nouveaux territoires.
Critique :
Adapter un blockbuster PC sur consoles n'est pas toujours aisé, surtout
lorsqu'on officie dans le hack'n slash. En effet, malgré quelques
exemples épars comme "Sacred 2", "Torchlight", "Crimson Alliance" ou bien
encore "Realms of Ancient Wars", le genre est quelque peu sous-représenté.
Si l'arrivée de "Diablo III" apporte donc un vent de fraîcheur sur Xbox
360 et PS3, la vraie question est de savoir si ledit vent souffle dans
le bon sens.
Et autant le dire d'emblée, on l'espérait très fort et c'est maintenant confirmé, "Diablo III" a réussi avec brio son passage sur consoles. En sus d'une interface intelligemment retravaillée, on a droit à la disparition de la connexion internet obligatoire, ainsi qu'à celle du funeste hôtel des ventes. Par ailleurs, la possibilité de jouer à quatre sur un même écran est un vrai plus.
Il n'empêche que ce portage arrive un an et demi trop tard pour réellement soulever l'enthousiasme et, qu'avec un gameplay pensé dès le départ pour le duo clavier/souris, le jeu a tout de même un peu plus sa place sur PC. Toutefois, si vous ne jurez que par la manette, n'hésitez-pas à foncer tête la première dans la gueule du diable !
Certains ont ricané quand le développeur américain Blizzard, créateur des franchises "Starcraft" et "Warcraft", avait annoncé en février dernier que son "Diablo III" allait connaître un portage sur consoles de salon. Comment ça ? Le roi des hack’n’slash, du dézingage tous azimuts en donjons avec butin à la clé, allait être joué à la manette ? Hérésie ? Appât du gain ? Et pourtant, je le répète, "Diablo III", sorti sur Xbox 360 et sur PlayStation 3, n’a pas à rougir de sa version PC. Au contraire. Il devrait même réussir à capter un nouveau public, rétif aux touches et à la souris.
Certains ont ricané quand le développeur américain Blizzard, créateur des franchises "Starcraft" et "Warcraft", avait annoncé en février dernier que son "Diablo III" allait connaître un portage sur consoles de salon. Comment ça ? Le roi des hack’n’slash, du dézingage tous azimuts en donjons avec butin à la clé, allait être joué à la manette ? Hérésie ? Appât du gain ? Et pourtant, je le répète, "Diablo III", sorti sur Xbox 360 et sur PlayStation 3, n’a pas à rougir de sa version PC. Au contraire. Il devrait même réussir à capter un nouveau public, rétif aux touches et à la souris.
Avant tout, "Diablo III" demeure sur console ce qu'il est sur PC : un pur représentant de la race hack'n'slash, un membre de l'élite du porte monstre trésors, encore qu'il n'y ait pas beaucoup de portes dans "Diablo". Plutôt des niveaux assez vastes qu'il faut nettoyer de fond en comble, afin d'accumuler pièces d'or et expérience, et ramasser
de quoi équiper son personnage à mesure qu'il gagnera des niveaux et
débloquera de nouvelles compétences offensives ou défensives.

Mais plongeons-nous dans l'histoire de ce troisième volet. Elle se
déroule vingt ans après la destruction de la Pierre Monde dans "Diablo II :
Lord of Destruction" (sorti en 2000 et qui reste, à mes yeux, un must). Cette barrière destinée à isoler Sanctuary des
Enfers et du paradis avait été corrompue par Baal, si bien que
l'archange Tyrael s'était résolu à la détruire. Personne ne pouvait
présager les conséquences d'un tel geste. Jusqu'à cette nuit où une
comète est venue s'écraser sur la cathédrale de Tristram.
Depuis, le
village est en proie à de funestes événements. Les morts se sont
réveillés, dont le roi squelette Leoric qui sommeillait dans sa crypte.
Et alors que Leah recherche activement son oncle adoptif Deckard Cain,
disparu dans les profondeurs de la cathédrale au moment de l'impact, la
jeune femme est victime d'une vision dans laquelle lui apparaît Asmodan,
l'un des démons mineurs. A la faveur d'une superbe cinématique que vous
avez sans doute déjà vue, il lui révèle son intention d'envahir le
monde en y déversant ses sbires. Mais un héros va se dresser face aux
Seigneurs des Enfers pour tenter d'en contrecarrer les plans. Et ce
héros, c'est vous !

"Diablo III" reste très fidèle à son modèle
PC. Certes, il est moins joli à regarder, les textures se sont
émoussées. Mais le son et lumière qu’offrent les vagues de sorts et de
coups lors des combats n’a pas perdu en intensité, le spectacle reste
total et fluide. Les possesseurs de petits écrans télé risquent
toutefois de plisser parfois les yeux à vouloir scruter les détails.
Si les fondamentaux de "Diablo III" ont bien résisté pour leur
arrivée dans les univers Xbox et PlayStation, le jeu a donc en revanche un
peu accusé le coup visuellement. S'il est évidemment trop tôt pour se prononcer
sur la version "next gen" (PS4), sur la génération actuelle les
graphismes ont forcément moins de panache que sur un PC de bonne tenue.
Le jeu demeure splendide, avec ses décors vastes et colorés, sa touche "peinture à la main" magnifique.
Il est
tout de même évident qu'il est moins fin et moins détaillé, plus aliasé,
et parfois moins fluide. Des petites baisses de framerate, des micro-saccades qui ne perturbent pas trop le gameplay et n'entachent pas la
jouabilité, mais qui montrent qu'il est grand temps de changer
de génération de consoles. La chose est particulièrement visible lors
des combats les plus spectaculaires, comme ceux de l'Acte III, toujours
insurpassés dans le domaine. Dommage, surtout que le reste du temps, le
jeu est fluide et joli.

Pour ne rien gâcher, "Diablo III" bénéficie d'une bonne prise en
main soutenue par cette interface adaptée qui permet de se concentrer sur
l'action, simple mais addictive, délivrée par le genre. On
massacre, on loote et on s'équipe avec grand plaisir, sachant que
Blizzard a essayé, la plupart du temps avec succès, de rendre son jeu le moins répétitif et le moins
lassant possible.
D'autant plus que cette version console fait l'impasse sur les deux plus grands écueils de la version PC, en d'autres termes la connexion internet obligatoire et l'hôtel des ventes. Évidemment, la disparition de la connexion obligatoire ne signifie pas que "Diablo III" s'est transformé en un jeu purement solo. S'il est possible de jouer seul et déconnecté, il suffit de se brancher sur le PSN ou le Xbox live pour pouvoir parcourir l'aventure à quatre. Plus étonnant, les nostalgiques des réseaux locaux d'autan dispose d'une option pour jouer en LAN.
Enfin un mode coopératif à quatre sur le même écran est également disponible. Cette nouvelle manière de jouer à "Diablo III" est aussi simple que conviviale. Il suffit de brancher une manette puis de choisir un personnage pour rejoindre la partie en cours. Seule limitation, l'écran n'étant pas partagé, les quatre joueurs doivent rester groupés.

On retrouve donc intactes les cinq classes de personnages, du barbare costaud
au mage polyvalent en passant par le moine
kickboxer ou le chasseur de démon et ses armes bruyantes. D'une manière
générale, aucun contenu n'a été enlevé du jeu original, porté à
l'identique sur consoles. Mieux encore, "Diablo III" nous est ici
proposé mis à jour avec toutes les nouveautés de la version PC 1.0.7,
et intègre même quelques mécaniques héritées de la 1.0.8 sortie en mai
dernier.
Sans s’appesantir sur chaque modification de compétence ou correction apportée au gameplay,
disons que le jeu a bien évolué par rapport à ce qu'on a connu au
moment de son lancement en 2012. Outre l'amélioration du système
d'artisanat, désormais utile, le système de loot a été revu, et que ce
soit le fait des mises à jour ou d'une optimisation pensée pour cette
version il faut avouer
que c'est en net progrès. Les boss lâchent enfin du jaune, comme on dit
dans le milieu (des items rares bien meilleurs que les items magiques
classiques), et l'aventurier moyen trouvera des légendaires (objets
oranges uniques) de manière régulière, au lieu d'un tous les six mois
comme c'était auparavant le cas.
Le système de combats de "Diablo III" est basé sur la gestion
d'une ressource qui diffère en fonction des classes (fureur, mana,
puissance arcanique...), mais qui, dans tous les cas, vous permet de
lancer des compétences plus ou moins dévastatrices. Même si
vous laisserez vite de côté votre attaque de base, votre arme ne doit
pas être négligée car ses valeurs sont prises en compte pour déterminer
les effets de vos différents pouvoirs.

Au final, si on attendait Blizzard au tournant, force est de constater que cette
adaptation consoles de son hack'n slash est de fort belle facture. En
ayant brillamment repensé le gameplay pour le support tout en ayant
soigné la forme, "Diablo III" rayonne sur PS3 et Xbox 360. Mieux, cette
version inclut quelques ajouts très intéressants sans parler des
ajustements qui rendent l'expérience aussi enrichissante
que sur PC (même si mon cœur reste au PC pour "Diablo"). Une excellente pioche qui démontre qu'un genre ancré dans
l'histoire du PC a également sa place sur consoles, s'il est bien pensé
en amont !!!
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